Il est arrivé que la « bonne » réponse soit de déclarer vrai ce qui est faux ou que le sujet fasse appel à un poème traduit vers l’espagnol et dont le nom de l’auteure a été hispanisé. Le courrier que j’ai adressé aux inspecteurs pour leur demander, entre autres choses, de préciser comment traiter les réponses des candidats qui déclaraient faux ce qui était faux est resté sans réponse.