Se rappeler le Guatemala.

Bonjour collègues,

Le Monde publie aujourd’hui une synthèse complète et désolante de la situation au Guatemala.

Je me permets de vous transmettre le commentaire que j’ai laissé à la suite de l’article. J’espère trouver le temps de faire un Retour sur l’info sur ce pays bientôt.

J’aimerais aussi remettre sur le métier la question de l’atelier d’écriture, qui a consacré quelques séances au lac Izabal.

Cordialement,

S.

PS : Le Monde ne permet pas aux lecteurs de mettre des liens et je ne les ai pas rajoutés maintenant. Contactez-moi si vous ne trouvez pas tel ou tel document.

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Merci pour cette synthèse complète, désolante. Le formalisme ne fait ni la Justice ni la Démocratie ; ni au Guatemala ni ailleurs.
Quelques suggestions pour mes collègues profs (et pour les autres) :
Le très bon podcast d’Escalón (no ficción, el experimento) sur la CICIG.
Les nombreux articles (dans Le Monde, notamment) sur les ravages produits par l’industrie extractive dans ce malheureux pays, en particulier autour du lac Izabal.
« Our time is now », de Julie Gibings, décrit la brutalité du racisme qui structure les rapports sociaux au Guatemala. « Brutalité » est insuffisant. Ajoutez « abjection ».
Les rapports d’Amnesty International sur le génocide commis entre autres par le père de Zury Ríos, candidate.
La présentation (Casa de América, Madrid) de « Tiempos recios » (trompeur, mauvais) par son auteur, Vargas Llosa, offre un exemple de la complaisance avec laquelle un certain hispanisme regarde cet essayiste.
Rentrez Consuelo Porras ou Giammattei, dans votre navigateur…

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