L’administration fait suite à ma demande de communication de documents. Elle excipe du secret des affaires pour caviarder ceux qu’elle me transmet. Les caviardages sont tellement massifs qu’on en vient à se dire que la chaire se consacre toute entière aux affaires et que ces dernières sont de la plus grande confidentialité.
Une autre possibilité serait d’imaginer des pratiques de censure analogues à celles pratiquées en feu Union Soviétique et une administration qui méconnaitrait ses obligations légales.
Je demande à la CADA d’indiquer si les occultations pratiquées par l’administration sont légitimes. On saura alors laquelle des deux hypothèses mentionnées plus haut il faut retenir. Ou s’il y en a une autre que nous n’avons pas su imaginer.